On associe souvent les émotions à des couleurs : le rouge pour la colère, le noir pour le désespoir, ou encore le jaune pour la joie (comme je l’ai exploré dans mon article sur les couleurs dans l’oeuvre de Niki de Saint Phalle). Mais que diriez-vous de les représenter par des formes géométriques ? Et si la jalousie était un cercle, tandis que l’envie prenait la forme d’un triangle ? Cette idée intrigante nous servira de point de départ pour explorer ces deux émotions qui, bien qu’interconnectées, diffèrent dans leur mécanique intime…
Cet article s’inscrit en diptyque avec mon texte sur la jalousie. Pour rappel, la jalousie, comme je l’expliquais dans c’est la peur de perdre un lien ou une place ; c’est aussi la volonté de posséder ce qu’on croit nous appartenir. L’envie, en revanche, découle du désir de s’approprier ce que l’autre possède : un objet, un talent, une situation.
Longtemps perçue comme une émotion mesquine, immature, et indigne d’un esprit éclairé – à tel point qu’elle figure parmi les sept péchés capitaux –, l’envie mérite pourtant d’être réexaminée. Dans le podcast La conversation scientifique : La jalousie est-elle géométrisable ?, le philosophe Jean-Pierre Dupuy propose une distinction fascinante. Selon lui, la jalousie pourrait être symbolisée par un cercle :
« la jalousie est pure souffrance […] La forme géométrique de la jalousie est un cercle, mais un cercle dont moi, sujet jaloux, je me trouve exclu. Et c’est cette exclusion qui fait que je suis jaloux. » 1
L’envie, quant à elle, prendrait selon Jean-Pierre Dupuy la forme d’un triangle où le sujet envie le modèle, qui devient à la fois un médiateur et un obstacle, en raison de l’objet de désir qu’ils convoitent tou·te·s deux. Là où la jalousie est source de souffrance, l’envie pourrait ainsi devenir un moteur d’émulation.

Comme je l’ai fait pour la colère, que j’ai analysée comme étant une réaction légitime face à l’oppression, je vous propose ici de revisiter l’envie pour en révéler toute sa complexité et ses trésors cachés : comment l’envie peut-elle se métamorphoser en un levier de compréhension et de transformation ?
Ensemble, déroulons le fil rouge de cette émotion…
💓 Le corps en écho : ressentir l’envie
C’est avec sincérité que je partage ces mots, nés des sensations physiques et des pensées qui m’ont traversé·e en éprouvant cette émotion…
✍️ Je ressens avec ambivalence une ouverture vers ce qui m’appelle et une fermeture à ce qui ne m’est pas accessible. Mon corps se crispe. Mes jambes se raidissent, mon ventre se durcit, une boule émerge dans la gorge, rendant chaque respiration plus difficile. Mes lèvres se pincent, les battements de mon cœur résonnent, comme des baguettes martelant un tambour. Mon cou est tendu, mon ventre contracté, mes épaules s’affaissent sous le poids de mes pensées qui me persécutent. Chacun de mes muscles semble se rebeller, chaque fibre prise d’assaut par cette vague d’envie.
C’est d’autant plus inconfortable que je me juge : je ne devrais pas avoir ces pensées ! Je ne devrais pas ressentir cela ! Rationnellement, je dézoome, je vois qu’à la hauteur du monde, de l’univers, de la durée de mon passage sur cette Terre…ce n’est rien. Mais, émotionnellement, l’envie me balaie et je sens la colère et l’injustice m’emporter avec elles. Le barrage des ruminations, que je pensais solidement enfoui sous le terrain de l’amitié et de la positivité, cède peu à peu. Là, c’en est trop.
Je souffle… Vite, de l’air, un antidote, j’étouffe ! Et soudain, la question clé surgit : « Est-ce que je souhaiterais échanger la totalité de ma vie contre la sienne ? » La réponse est immédiate : certainement pas !
Je sens alors la pression retomber… Tout va bien… Bien sûr, j’ai le droit d’avoir envie de ce que je n’ai pas ! J’ai le droit de ressentir de l’envie. J’ai même le droit de me montrer bienveillante envers moi-même pour ressentir cette émotion ; elle est déjà assez désagréable, pas besoin de m’en rajouter une couche !
Et puis, je me rappelle que l’envie n’est pas un monstre à exorciser, mais un signal. Un rappel que quelque chose dans ma réalité me touche profondément. La reconnaître, l’accepter, c’est peut-être le premier pas pour transformer la douleur en force et en compréhension de ce que je désire réellement.
Je respire enfin. L’air entre dans mes poumons, et avec lui, une douceur inattendue : la paix.

✨ Les messages que livre l’envie
➤ Une émotion humaine et universelle
Nous sommes des êtres sociaux, et notre cerveau fonctionne par comparaison. Se comparer aux autres est naturel, et ressentir de l’envie l’est tout autant. Ce qui nous pèse, finalement, n’est-ce pas tant l’émotion elle-même, que le jugement que nous portons sur nous-mêmes lorsqu’elle surgit ?
➤ L’envie, miroir de nos désirs
L’envie met parfois en lumière des désirs enfouis, des aspirations inavouées ou des besoins négligés, révélant ce qui nous manque ou ce à quoi nous aspirons secrètement.
➤ L’envie et la culture : de la Bible à la société de consommation
L’envie est un ressort narratif ancien, souvent lié à la transgression et à la punition. Dans ce texte fondateur qu’est la Bible, n’est-ce pas l’envie — celle de la connaissance — qui pousse Ève à croquer le fruit défendu, précipitant ainsi la chute de l’humanité ? Depuis des siècles, la figure de la femme tentatrice symbolise cette envie perçue comme un danger, une menace à l’ordre établi.
De symbole de transgression, elle est devenue un levier de désir savamment entretenu. Aujourd’hui, la société de consommation exploite cette dynamique en la poussant à son paroxysme. Publicités et réseaux sociaux créent un sentiment de manque permanent, nous faisant désirer des choses auxquelles nous n’aurions jamais pensé de nous-mêmes. L’envie n’est plus seulement individuelle, elle est orchestrée, manipulée, transformée en moteur économique.
Toutefois, au-delà de cette instrumentalisation, l’envie demeure un signal précieux : elle nous éclaire sur notre rapport à nous-mêmes et aux autres.
🧭 Cette boussole intérieure et sociale : ce que l’envie nous apprend
➤ Un reflet de notre rapport à nous-mêmes
L’envie est une émotion révélatrice. Elle est proportionnelle au niveau de satisfaction que l’on éprouve dans sa propre vie. Plus on se sent comblé·e, moins elle a de prise sur nous. Elle est aussi liée à notre perception du possible : ce que nous croyons possible pour nous-mêmes influence directement nos aspirations et la manière dont nous percevons les réussites des autres. Lorsqu’on est en paix avec ce que l’on a et ce que l’on est, il devient plus facile d’être sincèrement heureux·se pour autrui, sans être envieux·euse.
➤ Une rivalité fabriquée : l’envie comme outil de domination sociale
L’envie n’est pas seulement une réaction individuelle ; elle est façonnée par notre environnement et les normes sociales. Ainsi, dans notre société patriarcale, les femmes ont longtemps été mises en concurrence – et le sont encore -, que ce soit pour des rôles sociaux, des opportunités ou l’approbation masculine.
Pensons aux rivalités féminines si souvent mises en scène dans la culture populaire : de la « méchante reine » jalouse dans le conte de Blanche-Neige à la compétition entre les héroïnes des romans du XIXe siècle, les femmes sont souvent représentées comme des rivales, se disputant un homme, une position ou un statut. Cette mise en concurrence constante empêche la sororité et détourne les femmes des luttes collectives. L’envie devient alors un outil de fragmentation, un moyen d’entretenir la division plutôt que la solidarité.
➤ Un puissant levier de transformation : l’envie comme moteur du féminisme
Néanmoins, plutôt que d’opposer les femmes entre elles, l’envie peut les rassembler et nourrir une lutte collective pour revendiquer les mêmes opportunités et libertés que les hommes.
C’est ce que défend l’autrice anglaise du XIXe siècle Virginia Woolf dans Un lieu à soi. Elle ne se contente pas d’envier la liberté financière et intellectuelle des hommes : elle transforme cette envie en revendication politique. Son combat ne vise pas seulement à ouvrir des portes à une élite de femmes, mais à garantir à toutes le droit d’écrire, de penser et d’exister en dehors du regard masculin. L’envie devient ici un révélateur d’injustices et un moteur d’action.
Son analyse reste d’une actualité frappante. Aujourd’hui encore, l’indépendance économique et l’accès aux espaces de création ne sont pas garantis pour toutes les femmes. Inégalités salariales, précarité financière, charge mentale : autant d’obstacles qui entravent leur liberté. Dès lors, l’envie de ce que les hommes possèdent – plus de temps, plus de ressources, plus de reconnaissance – peut devenir une force qui pousse à revendiquer l’égalité.
Envisagée à travers ce prisme, l’envie est une boussole qui pointe vers ce que nous désirons profondément. L’histoire des luttes féministes en témoigne, comme les suffragettes qui ont envié le droit de vote des hommes et l’ont conquis. Car ce que nous envions chez d’autres n’est peut-être pas un privilège à convoiter, mais un droit à conquérir…
🧴 Mes antidotes pour transformer l’envie en énergie constructive
Plutôt que de se juger pour ressentir de l’envie, pourquoi ne pas l’accueillir et l’examiner ? Cette émotion peut devenir un moteur puissant de transformation. Je vous livre mes cinq antidotes pour en faire une énergie constructive, à utiliser alternativement ou en combinaison.
➤ Cultiver la gratitude
La gratitude consiste à apprécier ce que l’on a déjà . En prenant un moment — et c’est encore plus efficace par écrit — pour vraiment ancrer ce que l’on possède et ce que l’on est, on se permet de faire baisser l’intensité de l’envie. Ce simple geste devient un véritable cadeau que l’on se fait, un moyen de ne pas se perdre dans la comparaison, mais de célébrer notre propre réalité.
C’est ce que fait Clarissa Dalloway, le personnage de Virginia Woolf :
« elle appela à l’aide toutes les choses qu’elle faisait ; tout ce qu’elle aimait ; son mari ; Elizabeth [leur fille] ; ce qui était elle en somme et dont Peter ne savait pour ainsi dire plus rien, et les rassembla autour d’elle pour repousser l’ennemi. » 2
➤ Se rappeler que l’herbe n’est pas plus verte ailleurs
« Je veux dire que tout ce qui brille n’est pas or. Je veux dire que bien que cette femme soit riche, belle, et aimée, il y a quelque chose qui ne va pas. » 3
dit le personnage d’Hercule Poirot dans Meurtre sur le Nil, d’Agatha Christie. Et la chute du roman nous le confirme…
Le cerveau humain fonctionne par contraste. Si l’on vit assez longtemps, on traverse à la fois la tristesse, le deuil, mais aussi la joie et l’espoir. Toutes ces émotions forment la palette de l’existence. Ainsi, lorsque l’envie nous envahit, souvenons-nous que derrière les façades parfaites des réseaux sociaux, des belles villas ou des mariages idéalisés, chaque personne a ses luttes, ses souffrances et ses désespoirs. Cette réalité fait partie intégrante de la vie.
L’herbe du voisin, qui nous semble si verte, cache peut-être ses propres pelouses brûlées, ses ombres invisibles.
➤ Se demander si l’on voudrait vraiment le « package » complet
Revenons à l’essentiel : ce que nous avons et ce que nous sommes. Enviez-vous la situation professionnelle de cet·te ami·e ? Seriez-vous prêt·e à échanger sa vie entière contre la vôtre ? Ses enfants contre les vôtres, son·sa conjoint·e contre le·la vôtre, ses animaux contre les vôtres, sa santé contre la vôtre, ses défis contre les vôtres… ?
➤ De l’envie à l’admiration et à l’émulation
Et si, au lieu de voir cette personne que l’on envie comme un simple miroir de notre insuccès, on la considérait comme un·e mentor·e, un modèle à suivre ? Ne serait-ce pas là une manière de transformer l’envie en un moteur positif, de passer de la frustration à l’inspiration ?
➤ Arroser son jardin : se recentrer sur ce qui est en son pouvoir

L’envie est souvent un signe que nous aspirons à quelque chose que nous n’avons pas, qu’il s’agisse de succès, de possessions ou de qualités. Dès lors, pourquoi ne pas l’utiliser comme un moteur d’action positive ? Se recentrer sur ce qui est en notre pouvoir, c’est revenir à l’essentiel : ce que nous pouvons réellement changer et ce qui dépend de nous. Si l’on envie quelque chose chez l’autre, la question devient alors : que puis-je mettre en place pour l’atteindre moi-même ?
Attention, toutefois. Avant de céder au mimétisme ou à l’illusion qu’obtenir cela nous apportera une satisfaction instantanée, il est important de prendre du recul. Est-ce vraiment ce que je veux, ou suis-je influencé·e par des désirs externes ? Derrière chaque désir se cachent à la fois des avantages et des inconvénients, et il est essentiel de considérer l’ensemble du « package ». L’idée n’est pas d’envier sans fin, mais de se demander si ce que l’autre possède correspond à un vrai désir de notre part, ou à une simple idée du bonheur.
Cela nous permet de transformer l’envie en une réflexion productive, et non en une simple comparaison stérile.
🔍 Dans les coulisses de cet article
L’envie naît souvent de ce que l’on croit possible pour soi. J’admire profondément les autrices J.K. Rowling et Flore Vesco : leur talent, leur plume, leur univers. Mais leur succès, tel qu’il est, n’est pas ce que j’envie. Ce que j’aimerais, c’est ce que leur réussite leur permet : vivre de leur écriture, voir leurs textes adaptés, voyager, échanger autour de la littérature.
Ce n’est pas une envie de ce qu’elles ont, mais une aspiration à façonner une vie qui me ressemble. Car je ne voudrais pas de leur « package » entier—je ne troquerais pour rien au monde mon mari, mes enfants, ma vie actuelle. Mais en réfléchissant à ce qui me fait vibrer, je réalise que cette envie n’est pas un simple désir de reconnaissance, mais un cap : un indicateur de ce qui me nourrit et vers quoi je veux tendre.
L’important n’est donc pas de comparer, mais de comprendre ce que cette envie révèle sur ce qui compte vraiment pour moi—et comment l’intégrer dans ma propre trajectoire. ✨
📚 L’envie à travers les âges, entre histoire, littérature et sciences
🧐 Étymologie du mot envie
Le mot envie tire son origine du latin invidia, qui signifie littéralement « regard malveillant ». Ce nom latin est lui-même dérivé du verbe invidere, qui se compose de deux éléments :
- in– : préfixe signifiant « sur » ou « contre ».
- videre : qui signifie « voir ».
Dans la tradition chrétienne, invidia est classée parmi les sept péchés capitaux, car l’envie est perçue comme un sentiment destructeur, à la fois pour la personne qui l’éprouve et pour les relations humaines. C’est ainsi que l’émotion a longtemps été stigmatisée comme un défaut moral.
📜 Citation



L’envie, lorsqu’elle va à l’encontre des normes établies, peut devenir une source de frustration. Dans son roman Loup Pasteur contre les loups-garous, l’autrice de littérature jeunesse Flore Vesco illustre cette tension à travers le personnage de Constance. Après avoir découvert par accident l’art du fleuret, elle y prend goût, mais se heurte aux interdits de son époque. Une fille du XIXe siècle n’est pas censée manier le fleuret, encore moins y trouver du plaisir ! Voici un extrait qui exprime cette envie grandissante :
Elle avait beau se fendre impeccablement, chaque geste lui apportait un sentiment grandissant d’insatisfaction. Il manquait le poids du fleuret, le tremblement léger de la lame qui fendait l’air, le sifflement du vent. Constance s’arrêta. Son pied battait impatiemment. Sa main serrait du vide. Elle sentait monter l’envie. C’était un tout petit trou au centre du buste, qui s’élargissait doucement, furtivement, jusqu’à former un creux bruyant et entêtant. Elle voulait un fleuret.
Louis Pasteur contre les loups-garous, Flore Vesco 4
Pourtant, les conventions de son époque lui rappellent violemment ce qu’une jeune fille est censée taire et réprimer :
« Constance laissa retomber ses bras dans un soupir. Elle s’assit à même le sol et prit une longue inspiration. Elle savait très bien ce qu’elle devait faire. Elle excellait à cet exercice. Il fallait prendre le désir, le plier menu menu, et l’enfuir profondément parmi toutes les autres envies impétueuses et déplacées […] et jeter dessus un rideau bien lourd. »
Mais rassurez-vous : Constance finira par briser les carcans imposés par son époque et reprendra le fleuret avec panache !
🔬 L’envie : une perspective scientifique
➤ La fonction adaptative de l’envie
D’un point de vue évolutif, l’envie peut avoir une fonction adaptative en incitant les individus à améliorer leur statut social ou leurs compétences. En observant et en désirant ce que possèdent les autres, une personne peut être motivée à adopter des comportements bénéfiques pour sa survie et sa reproduction. Ainsi, l’envie pourrait servir de moteur à l’émulation et à l’amélioration personnelle, bien qu’elle puisse également engendrer des sentiments de frustration ou d’infériorité si elle n’est pas régulée de manière appropriée.
➤ Le rôle de la dopamine dans l’envie et les neurodivergences
La dopamine est un neurotransmetteur crucial dans la régulation de la motivation, du plaisir et du désir. Chez les personnes neurodivergentes, telles que celles atteints de trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH), des niveaux réduits de dopamine ou une transmission dopaminergique dysfonctionnelle peuvent entraîner des comportements de recherche accrue de stimulation. Cette quête constante de nouveauté et de récompense peut être perçue comme un désir insatiable, souvent associé à l’envie de posséder ou d’expérimenter davantage. 5
➤ L’impact des réseaux sociaux sur l’envie

L’utilisation des réseaux sociaux a été associée à une augmentation des sentiments d’envie et de comparaison sociale, ce qui peut influencer le bien-être psychologique. Des études ont exploré comment l’exposition aux contenus des réseaux sociaux peut exacerber ces sentiments, en particulier chez les jeunes adultes. Par exemple, une étude a révélé que 9% des jeunes de 18 à 25 ans ont ressenti de l’envie en voyant des publications sur les réseaux sociaux, ce qui peut contribuer à des sentiments de mal-être. 6
🛠️ Guide d’application pour explorer l’envie
L’envie est une émotion puissante et révélatrice qui, une fois apprivoisée, peut enrichir notre compréhension des relations et des structures sociales. Voici trois questions puissantes que vous pouvez vous poser pour la transformer :
➤ Prenez conscience de vos ressentis : quels désirs cachés l’envie pourrait-elle révéler ?
➤ Identifiez ses déclencheurs : quelles injustices ou aspirations sous-tendent votre envie ?
➤Transformez-la : comment l’envie peut-elle devenir un moteur de réflexion ou d’émulation ?
💬 Partagez vos réflexions en commentaires et avançons ensemble dans ce cheminement émotionnel…
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- 1 Propos de Jean-Pierre Dupuy, philosophe, professeur émérite à l’Ecole polytechnique, professeur à l’universite Stanford (Californie), interrogé par Etienne Klein dans son podcast La conversation scientique, dans l’épisode intitulé La jalousie est-elle géométrisable ? et publié le 10 décembre 2016. Jean-Pierre est l’auteur de La Jalousie. Une géométrie du désir . ↩︎
- Mrs Dalloway, Virginia Woolf, Le Livre de Poche, romans et nouvelles, traduction de Pascale Michon , page 238. ↩︎
- Mort sur le Nil, Agatha Christie, Le Livre de Poche, page 42. ↩︎
- Louis Pasteur contre les loups-garous, Flore Vesco, Romans Didier Jeunesse, pages 70-71. ↩︎
- https://www.healthline.com/health/adhd/adhd-dopamine?utm_source=chatgpt.com ↩︎
- https://www.yeps.fr/conseil/pour-mettre-fin-aux-complexes-stoppons-les-reseaux-sociaux/?utm_source=chatgpt.com ↩︎
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